Le 26 mars, nous vous présentions notre dernière innovation technologique : Webomind. Cette fonctionnalité révolutionnaire ouvre de nouvelles perspectives pour les annonceurs et agences média. Imaginez : décrire votre objectif de ciblage en langage naturel – un brief média, une description de campagne, une liste d’URLs… et recevoir en retour une liste d’URLs de pages web en proximité sémantique, prêtes à être activées pour votre campagne, le tout grâce à Webomind.
La disparition des cookies tiers ne signifie pas seulement la fin d’une méthode de ciblage, mais aussi la perte d’informations cruciales sur les clients et les prospects. Les annonceurs se retrouvent face à la difficulté de trouver et de cibler efficacement leurs audiences sans ces données.
Les éditeurs, de leur côté, voient une part de leurs revenus impactée par cette transition. Alors que 55 % de l’inventaire des publishers peut être adressé en contextuel, cette part diminue considérablement lorsqu’on se limite aux données First Party des annonceurs. On passe ainsi de 55 % à seulement 10 %, voire 5 % de l’inventaire réellement adressable.
C’est là que la Data Clean Room entre en jeu. Cette technologie permet de relier de manière sécurisée les données First Party des annonceurs avec l’inventaire des éditeurs. Les annonceurs peuvent envoyer leurs segments d’audience, tandis que les éditeurs fournissent des insights basés sur leurs données First Party. Grâce à cette collaboration, les deux parties peuvent identifier les cibles communes et les comportements d’achat ou d’intérêt.
Olivier explique ici comment Webomind permet d’étendre le ciblage aux audiences non-identifiées sur l’inventaire de l’éditeur. En effet, en combinant la similarité des profils et des contenus, les annonceurs peuvent étendre leur portée sans avoir besoin d’identifiants.
Crédits photo : Pauline de Courre